Cet été, j’ai lu le livre « Be a player » de Pia Nelson et Lynn Marriott. J’ai particulièrement aimé le passage expliquant les aspects surprenants de l’effet de l’adrénaline lors d’une partie de golf.
À la base, l’adrénaline est une hormone de stress et elle a pour effet d’augmenter la pression artérielle, d'accélérer la respiration et mieux oxygéner les muscles. Sachez que des muscles mieux oxygénés mènent à une augmentation de la force musculaire. Dit simplement, vous frappez plus loin. Cet extra de quelques verges est apprécié sur les coups de départs. D'un autre côté, cela fausse vos données de distance pour vos coups aux verts.
Ressentir un « bon stress » comme on dit, devrait être votre objectif. Vous profiterez alors de cet état d’éveil performant. Comment s’y prendre? Mon conseil est d’être réaliste dans vos attentes et, avant tout, ne jamais laisser un mauvais coup vous gêner, vous décourager ou vous rendre de grognon à agressif car ce « mauvais stress » cause la venue d’une autre hormone, celle-ci appelée le cortisol.
Dans la vidéo accompagnant ce texte, le professionnel Alain Trudeau raconte justement une de ses expériences personnelles ou la cortisol a inhibé temporairement ses fonctions cognitives en compétition.
Bon visionnement!
Murray Henley
Cortisol : Nom masculin : http://www.granddictionnaire.com/ficheOqlf.aspx?Id_Fiche=17025010
Donc, c’est le cortisol et non la cortisol.
GML
Merci de nous l’avoir signalé.