Le club North Hatley en Estrie a organisé samedi le 15 juin dernier, une activité spéciale cadrant avec son année centenaire. Pour l'occasion, plusieurs membres participants ont joué leur partie revêtus de costumes d'époque.
C'est en 1924 qu'a été créé ce terrain de neuf trous. Les trois golfeurs et entrepreneurs américains qui ont pris cette initiative avaient en tête de rendre accessible ces allées à tous. Encore aujourd'hui, le club applique ce principe.
North Hatley est un haut lieu de villégiature baigné par le lac Massawipi. Il y a quelques années, il m'a été donné d'y jouer et j'y ai découvert un très beau neuf trous s'étendant parmi les collines. Pas facile, non plus, justement en raison des vallons, mais aussi à cause de certaines embûches et difficultés stratégiquement placées.
Pour revenir à la journée spéciale du 15 juin, ils étaient 70 membres à y participer dont une vingtaine qui ont choisi de se costumer pour l'occasion.
Le NextGen Québec au Boisés de Joly
Le club de golf Les Boisés de Joly est l'hôte, la semaine prochaine, du tournoi NextGen Québec. Plus de 150 juniors, provenant de tout le pays, débarqueront pour cette compétition se déroulant du 3 au 5 juillet.
«Pour la ronde de pratique du mardi, j'ai déjà, à l'heure actuelle, plus de 150 jeunes d'inscrits», précise le directeur général du club, M. Martin Trudel.
Les Boisés de Joly est reconnu, par son design et ses bonnes conditions de jeu, comme un parcours se prêtant bien à ce genre d'événement majeur. Selon M. Trudel, encore cette année, le terrain est en parfait état. «Ce matin, a-t-il dit hier (mercredi), la vitesse des verts était à 11.»
Ce tournoi débute donc le jour où se termine le Duc de Kent au Royal Québec. Comme les épreuves NextGen aident au classement des juniors pour tout le pays, plusieurs d'entre eux ne pourront participer à la première épreuve de la triple couronne amateur du Québec.
Le Alpin en bonne condition
Malgré des moyens limités à la suite du sévère incendie ayant rasé le garage du surintendant, les conditions de jeu au Alpin, en banlieue de Québec, sont sans faute. Je m'y suis élancé il y a deux jours à peine et, à vrai dire, il n'y avait aucune différence entre le Alpin que l'on connaît depuis toujours et celui joué mardi.
Le 3 juin dernier, les flammes ont rasé le garage principal du club. Les dégâts sont majeurs mais, heureusement, le hasard a voulu ce jour-là que trois tondeuses soient épargnées, elles qui en temps normal auraient dû être rangées dans ce bâtiment. N’empêche, le travail d'entretien du terrain se fait autrement depuis l'incendie et il faut croire qu'il se fait très bien puisque, comme mentionné au début, il n'y a rien d'anormal à signaler.
Le terrain est en très belle condition et il faut saluer le travail du surintendant Yvon Racine et de son équipe.