Québec – «C'est un dossier sur lequel nous travaillons depuis 15 ans! Et voilà, c'est fait, la vente a eu lieu. Non seulement nous n'avons plus de dette, mais nous pourrons même faire des placements.»
Au bout du fil, c'est un directeur général joyeux, Luc Harvey du Lorette, à Québec, qui nous fait part d'une vente de terrain (une parcelle inutilisée de toute façon par le club) faisant en sorte que le Père Noël est passé plus tôt cette année.

«Quand tu n'as plus à gérer un service de la dette… c'est quelque chose! Oui, c'est Noël à l'avance pour nous en 2016!», ajoutait-il.
Le long de du 16e trou
La parcelle de terrain en question recouvre une surface de 400 000 mètre carrés. Elle est située tout au long de l'allée du 16e trou. Elle vient donc d'être vendue à la Ville de Québec pour 1,7 millions $.
«Nous n'avions pas nécessairement une dette si élevée, rappelle le directeur général, mais maintenant il n'y en a plus. Et comme je vous le disais, on pourra même aller de l'avant avec des placements. Cette une excellente nouvelle pour notre membership actuel et futur.»

La transaction s'est faite la semaine dernière mais il fallait qu'elle soit entérinée lors d'une assemblée des actionnaires. Inutile de dire qu'elle l'a été à l'unanimité dans les jours qui ont suivi.
Milieu humide
L'endroit en question a déjà fait l'objet de discussions pour une éventuelle vente à des promoteurs désireux d'y ériger un quelconque développement domiciliaire. Chaque fois, les projets sont tombés compte tenu qu'il s'agit d'un milieu humide très, très protégé du côté de l'environnement.
La Ville en a fait l'acquisition pour que ce terrain devienne «compensatoire». En gros, lorsqu'il y a des développements devant se faire près de milieux humides, les autorités peuvent changer le zonage des lieux à la condition que le promoteur fasse l'acquisition d'un terrain humide de même superficie ailleurs, peu importe où.
Mais comme il n'en pleut pas nécessairement de ce genre de parcelles humides, la Ville en achète pour pouvoir ensuite les offrir aux promoteurs obligés de respecter les conditions de développement, peu importe si ce n'est pas dans le même secteur. Ces lieux sont alors acquis par les promoteurs, puis ensuite notariés comme quoi ils sont protégés pour la vie.
La boutique
Les semaines se suivent mais ne se ressemblent pas nécessairement dans le monde du golf au Québec. En effet, il y a à peine sept jours, les nouvelles étaient moins bonnes dans la région montréalaise où les citoyens de Rosemère, après consultation, ont rejeté un projet domiciliaire près du terrain de golf. La survie du club de golf de Rosemère était directement liée à la réalisation de ce projet. Une assemblée des actionnaires, le 13 décembre prochain, se tiendra pour décider de la suite des choses dans ce dossier.
Pour revenir au club de Lorette, à Québec, notons que la direction du club n'a pas renouvelé l'entente la liant à l'entreprise Point Golf, entreprise qui gérait la boutique de golf du club.
«Nous examinons encore les possibilités dans ce dossier-là, a expliqué M. Harvey, nous n'avons pas d'annonce à faire à ce sujet.»
Pettigrew Lisette
Bonjour Luc contente pour vous et félicitation pour le beau travail ,j aimerais aussi si celà est possible que tu me donnes des nouvelles pour la boutique comme tu sais je veux continué à travaillé cet été et que le Lorette me tient à cœur ,je suis en Floride pour l hiver mais tu as mon adresse Hotmail ,le Cap Rouge est toujours là mais le Lorette est pour moi plus proche ,je te souhaite de belles Fêtes qui avec cette nouvelle sera tres joyeuses amicalement Lisette ??.
LINDA GAGNÉ
Bravo a tous ceux qui ont travaillés fort sur ce dossier je suis très contente du résultat Le Lorette est la pour rester et bonne continuité !!! les membres et les employés doivent comme moi être très heureux!!!!! Joyeuses Fêtes
Pierre Fleury
Félicitations au club de Lorette pour la transaction. Monsieur Harvey, comme d’habitude, vous êtes un homme très responsable et compétent et je suis bien content pour votre magnifique club.
Pierre Fleury