La saison 2018 est bien lancée, la majorité des clubs du sud de la province sont ouverts pendant que ceux de l'est et plus au nord s'apprêtent à le faire, si ce n'est déjà pas le cas, mais… Mais avec des conditions météorologiques plutôt ordinaires, qui gâchent encore plus ce printemps si tardif, faudra-t-il encore s'armer de patience, faire preuve de grande sagesse et de sérénité pour pratiquer le golf cette année?
En août 2015, alors que l'été avait jusque là été assez pénible, nous avions publié un article à ce sujet. Donc il y a presque trois ans de cela, mais entretemps, à combien de reprises avons-nous eu connaissance de plaintes sur les réseaux sociaux venant de propriétaires ou de pros de clubs déplorant les prévisions alarmistes qui, au bout du compte, ne se sont pas produites.
On pense entre autres à M. Daniel Pilon (Clubs de la Banlieue ouest) qui, un samedi de début juillet 2016, avait dû renvoyer chez lui quelques-uns de ses employés, dont des étudiants, parce que l'achalandage n'était pas au rendez-vous alors qu'il faisait pourtant beau cette journée-là. Sur sa page Facebook, il n'avait pas vraiment été tendre avec Météomédia et, quelque part, on le comprend très bien.
Nous vous invitons donc à lire – ou à relire – l'article à ce sujet et, petite suggestion, retenir notre conclusion comme quoi, au Québec, il ne faut surtout pas attendre après le beau temps pour jouer au golf et ne pas toujours se fier aux prévisions dans certains médias. Il y a possibilité, maintenant, de voir avec précision le déplacement des nuages, un outil qu'il ne faut pas négliger. (https://golf-ml.com/actualites/ah-la-meteo/)